À l’occasion du 1 000e diplôme d’ingénieur délivré par l’École et observatoire des sciences de la Terre (Éost), coup de zoom sur cette école atypique de l’Université de Strasbourg, en compagnie de son directeur, Frédéric Masson.
Vous allez délivrer le 1 000e diplôme de votre école. Comment avez-vous comptabilisé ce nombre et n’avez-vous formé que mille étudiants en tout ?
Depuis 1920, notre composante a accueilli bien plus de mille étudiants puisqu’elle n’est pas uniquement une école d’ingénieurs : elle dispense également une licence et deux masters. Mais aujourd’hui, vendredi 13 décembre, à l’issue de sa soutenance, Coralie Mathieu obtiendra le 1 000e diplôme d’ingénieur délivré par l’Éost.
Nous savons justement qu’il s’agit du millième parce que nous tenons des cahiers dans lesquels sont consignés manuscritement tous les ingénieurs diplômés, un par page numérotée. Le premier date de 1920, sur un sujet assez éloigné de nos thématiques actuelles puisque la soutenance portait sur la météorologie.
Cela permet d’une façon très synthétique de récapituler tous les diplômés. Sinon, je vous rassure, il existe aussi des relevés de notes tout à fait classiques.
Quelles sont les spécialisations de votre diplôme et toutes les soutenances de vos élèves ne se déroulent-elles pas en même temps ?
À l’Éost, les soutenances se font au fil de l’eau quand les superviseurs de stage peuvent y assister. Nos élèves effectuent en effet leurs stages dans le monde entier et notamment en Norvège, dans le domaine pétrolier… avec, à l’issue, très souvent, une embauche ! Aussi nous tenons à privilégier la venue des industriels à l’école et à entretenir de bons rapports.
Le diplôme d’ingénieur en géophysique de l’Éost propose trois spécialisations : Géophysique appliquée à l'exploration et à la production des matières premières, Géophysique appliquée à la géotechnique et à l'environnement et la nouvelle spécialisation, Hydro G3 : hydrogéophysique, hydrogéologie, hydrogéochimie. Nous accueillons environ 45 élèves par an dont une grosse moitié dans la première spécialisation sur le pétrole, un quart en géotechnique et un petit quart pour la dernière, développée en commun avec l’Engees.
Nos étudiants viennent de toute la France et depuis quelques années du monde entier. Actuellement, nous comptons dans nos effectifs deux Gabonais, trois Marocains, un Tunisien.
Quels sont vos projets en cours ?
Notre avons un grand projet de restructuration immobilière commun avec l’Engees qui a bien progressé depuis le printemps, puisqu’un schéma précis de « qui va où » a été défini. L’enseignement en « Géosciences, eau, environnement » devrait s’installer dans l’ancienne manufacture de tabac. Toute la recherche de l’Éost - l’Institut de physique du globe de Strasbourg (IPGS) et le Laboratoire d’hydrologie et de géochimie de Strasbourg (LHyGeS) - s’installeront ensemble rue Descartes et libéreront le bâtiment de géologie de la rue Blessig.
Sinon l’Éost est très impliquée dans le Réseau sismologique et géodésique français (Résif). Ce projet va permettre de doter la France d’un nouveau système d'instrumentation pour l'observation des déformations terrestres par la mise en place d'un réseau de capteurs sismologiques et géodésiques. L’objectif est de mieux connaître la structure de la Terre sous la France, et d’améliorer notre connaissance de la sismicité métropolitaine, pour mieux caractériser l’aléa sismique.
Et puis, autre projet, celui de la géothermie profonde, identifiée par le "Grenelle de l'environnement" comme un axe important pour le développement des énergies renouvelables en France. Le Laboratoire d'excellence (Labex) G-Eau-Thermie profonde contribuera au développement de l’utilisation de cette source d’énergie grâce à une meilleure connaissance des réservoirs géothermiques profonds et au développement de nouvelles technologies permettant de les exploiter.
Propos recueillis par Fanny Del
Le diplôme d’université Médecine, méditation et neurosciences (DU MMN) avait déjà suscité un vif intérêt en 2012-2013 pour son lancement. Cette année, les responsables de la formation ont reçu plus de 400 demandes – dont quelque 250 dossiers recevables – pour 56 places. Récit d’un succès inattendu.
La promotion 2013-2014 du DU MMN est actuellement en formation au Mont Saint-Odile. Ils sont médecins (généralistes ou spécialistes), psychologues et chercheurs en neurosciences et viennent de toute la France, de Suisse, de Belgique, d’Angleterre, du Brésil et du Canada. Ces 56 personnes ont été choisies parmi quelque 250 candidatures. « C’est une hausse de 23% du nombre de candidatures et de plus de 15% de personnes accueillies par rapport à la première promotion en 2012-2013 », se félicite-t-on au Service de la formation continue.
Jean-Gérard Bloch, rhumatologue et directeur d’enseignement à l’Université de Strasbourg, est à l’origine de la création de ce diplôme et donc de l’entrée de la méditation à la Faculté de médecine. « Je pratique la méditation depuis 15 ans à titre personnel et j’ai été l’un des premiers, il y a 4 ans, à l’introduire aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg (HUS) dans le service de rhumatologie dirigé par Jean Sibilia1 sous la forme d’un programme de gestion du stress basé sur la méditation de la pleine conscience en 8 semaines proposé, selon le protocole MBSR2, aux patients et aux soignants. Avec ce diplôme, j’avais envie de faire découvrir aux professionnels de la santé comment intégrer cette pratique et profiter de ses bienfaits dans leur activité. »
Des effets sur le corps et l’esprit
Le moins que l’on puisse dire c’est que les professionnels sont au rendez-vous. « Le DU suscite un fort intérêt car on met le pied dans une technique qui ne fait pas partie de la médecine occidentale classique, explique Gilles Bertschy, professeur en psychiatrie aux HUS et co-responsable du diplôme. De nombreux essais cliniques montrent l’efficacité de la méditation sur la santé psychologique et dans une certaine mesure physique ; notre DU joue donc à dessein le rôle d’une véritable caution scientifique. »
L’engouement pour ce diplôme s’explique aussi par son caractère inédit en France et en Europe sous cette forme qui allie théorie et pratique de la méditation de pleine conscience. « C’est une conscience qui émerge quand on porte son attention consciente volontairement, sans jugement, sur ce dont on fait l’expérience dans l’instant, en le maintenant instant après instant », explique Jean-Gérard Bloch. En faisant intervenir des enseignants et professionnels locaux (Unistra et HUS) mais aussi des chercheurs de renommée nationale et internationale, le DU traite des aspects épistémologiques, philosophiques, psychologiques, neuro-scientifiques et cliniques de la méditation.
Découverte pratique par l’expérience
Les professionnels sont également invités à vivre une expérience personnelle de la pleine conscience. « On ne peut pas enseigner la méditation pour les autres si on ne l’a pas fait pour soi, la pratique permet d’incarner les aspects théoriques », affirme Gilles Bertschy.
Et les retours des diplômés sont très encourageants. ÀA la suite de la première promotion, des groupes de recherche ont été créés et des programmes MBSR ont été organisés dans diverses régions. Les diplômés se sont même regroupés en association pour promouvoir et développer toute action dans les champs de la santé et de la société en lien avec le DU. Une dynamique est enclenchée !
Floriane Andrey
1 Actuel doyen de la Faculté de médecinePour améliorer la visibilité de leurs unités mixtes (de recherche et de service) et créer une cohérence entre les différents supports de communication édités par celles-ci, le CNRS, l’Inserm et l’Université de Strasbourg ont créé une charte graphique commune.
Elle concerne les principaux outils de papeterie : carte de visite, carte de correspondance, papier à en-tête et enveloppe, autant de supports qui installent une identité visuelle par un usage quotidien dans les unités mixte de recherche. Ce manuel explicite dans les détails les règles d’utilisation pour chaque outil, garantes de la qualité et de la cohérence de cette identité. Les fichiers "sources" des documents présentés dans cette charte sont fournis sur demande au format Illustrator (version CS6 et antérieures, pour les cartes de visite, les cartes de correspondance et les enveloppes), au format Word (.doc pour le papier à en-tête, ou en
.docx), ou bien en PDF haute résolution.
Les services de la communication des trois entités sont à votre disposition (Déborah Aubry-Thomas au Service de la communication de l'Unistra - 03 68 85 13 54) pour tout conseil.
Vous retrouverez la charte graphique sur votre ENT en suivant cette arborescence : Vie de l'université - Fonctionnement / services / Projets - Services centraux - Service de la communication - Réseau des correspondants communication.
Le contrôle interne comptable et financier (CICF) est un outil de pilotage mis en place à l’Université de Strasbourg en 2011. La démarche qu’il porte consiste à identifier les risques financiers de l’établissement et à prévoir un plan d’actions pour contrôler ces risques. Premier bilan et projets à court et moyen terme après deux années de fonctionnement.
« À vrai dire, nous avons commencé à réfléchir à la mise en place d’un contrôle interne comptable et financier en 2011, poussés à le faire par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, lui-même sous la pression de la Cour des comptes sur cette question », explique Jean Pieri, directeur général adjoint aux ressources, et référent CICF. Après une cartographie des risques financiers propres à l’Université de Strasbourg, un plan d’action CICF était formalisé dès octobre 2011.
Le contrôle interne comptable et financier est un outil de pilotage qui prend en compte les risques financiers et propose des solutions sur deux niveaux distincts : la qualité comptable, c’est-à-dire une manière rigoureuse de « tenir les comptes » de l’université, afin de présenter une image fidèle de sa situation financière et patrimoniale ; et la soutenabilité des dépenses, qui s’intéresse plutôt aux questions de fond, c’est-à-dire avons-nous les moyens de faire telle ou telle dépense, de telle ou telle manière.
S’assurer qu’on peut payer tout le monde
Par exemple, l’évolution de la masse salariale de l’université, qui représente une part importante de son budget, a été rapidement identifiée comme présentant un risque : celui d’être un jour dans l’impossibilité de payer tout le monde. Un plan d’actions a donc été mis en place, notamment via une réunion au sommet réunissant le premier vice-président, le vice-président Finances et le vice-président Ressources humaines. « Les mesures prises collectivement (gel des postes, économies sur les recrutements) ont permis de limiter l’augmentation mécanique de la masse salariale afin qu’elle reste soutenable. » Même raisonnement concernant la commande publique d’achat. On a commencé par travailler sur la régularité (la légalité) de cette commande : comment atteste-t-on le service fait ? Quel est le délai de paiement des factures ? « C’est important, mais cela ne pose pas la question du bien-fondé des achats, du juste prix de ce qu’on achète », précise Jean Pieri. C’est ce nouveau chantier qui est en cours.
Dans le premier bilan du CICF, réalisé après deux ans d’existence, on peut notamment constater que la comptabilité analytique est opérationnelle. La méthodologie du calcul des frais de structure est validée. Il reste à améliorer les clés de répartition des surfaces et amortissements.
Un chantier permanent
Les réflexions et chantiers menés dans le cadre du CICF ont aussi généré des changements organisationnels plus ou moins profonds. Ainsi, la nécessité de rationaliser le montage de projets de recherche a poussé à la création d’un pôle unique d’ingénierie, interlocuteur des enseignants- chercheurs pour le portage de leurs projets en recherche et formation. Ce pôle associe sept services dans un guichet unique transversal qui prend en compte toutes les implications du projet : financier, ressources humaines, etc. Il est soutenu financièrement par l’Idex.
« Il est clair que Le CICF sera un chantier permanent, car il y aura toujours de nouveaux processus à mettre en place ou à analyser selon cette logique », conclut Jean Pieri. En 2014, il se « focalisera » notamment sur le Service de formation continue, la visibilité pluriannuelle sur les engagements financiers liés aux projets, ainsi que la mise en place opérationnelle du pôle unique d’ingénierie.
Caroline Laplane
Menée pour la première fois en 2008, la Nuit de l’info s’est déroulée à l’UFR de mathématique et d’informatique du coucher du soleil jeudi 5 décembre au lever du soleil vendredi 6 décembre 2013.
La Nuit de l’info est un événement national qui a attiré cette année 2 850 participants sur toute la France, répartis en 300 équipes, sur 44 sites. Le temps d’une nuit, dans une ambiance festive (jeux de fête foraine, jeux vidéo sur écran géant, karaoké, blind test), 169 participants du site de Strasbourg ont proposé, implémenté et packagé une application web 2.0 sur le thème "Le commerce pour vous et par vous (Your commerce)".
Au niveau local, la manifestation était organisée par l’UFR de mathématique et d’informatique, l’IUT Robert-Schuman, l’IUT d’Haguenau, l’Ecole nationale supérieure d’informatique pour l’industrie et l’entreprise, le Centre national des arts et métiers, avec la participation de l’Amicale des informaticiens de l’Université de Strasbourg et la toute nouvelle association des anciens étudiants de l’UFR de mathématique et d’informatique (Aramis). L’évènement bénéficiait du soutien du Syntec numérique et de nombreuses entreprises locales (Abase Europe, CGI, Open groupe, Mars chocolat).
L'IUT Robert-Schuman a accueilli Edgar Grospiron, champion de ski de bosses et de ski acrobatique, lors d'une conférence destinée aux élèves de collèges et lycées des Cordées de la réussite jeudi 21 novembre dernier.
Impliqué depuis 2011 dans les Cordées de la réussite, l’IUT Robert-Schuman organise les Conf’s de la réussite dans le but de sensibiliser les élèves, les étudiants, les enseignants et les partenaires professionnels aux valeurs portées par ce projet : donner de l’ambition aux jeunes de milieu défavorisé, leur permettre de réussir par les études en les accompagnant dans leur parcours.
Les Cordées de la réussite ont pour objet d’introduire une plus grande équité dans l’accès aux études en instituant un partenariat entre des établissements de l'enseignement supérieur et des lycées ou des collèges situés dans des quartiers prioritaires. L’IUT Robert-Schuman trouve, dans ce projet, un moyen de jouer son rôle d’ascenseur social auprès d’élèves en quête d’un avenir scolaire à leur portée. Afin de démystifier l’université et ses formations, il a engagé plusieurs projets avec ses partenaires de Cordées, les collèges Stockfeld, Hans-Arp et Foch ainsi que les lycées professionnels Oberlin et Jean-Geiler de Strasbourg.
« Ambition, engagement, réussite »
Pour sa première Conf’s de la réussite, l’IUT Robert-Schuman a organisé une rencontre avec Edgar Grospiron, ancien champion de ski de bosses et de ski acrobatique, qui a accepté d’emblée de transmettre sa passion et d’insuffler sa motivation auprès de ce jeune public en recherche de modèles.
Ambition, engagement et réussite, où comment faire sa place, poursuivre ses rêves, transformer les contraintes en jeux en gardant fraîcheur et lucidité. Edgar Grospiron a distillé ses phrases clés tout en ponctuant son discours d’exemples appliqués à sa vie sportive. Un beau moment de partage fortement apprécié par les élèves, les étudiants et les enseignants grâce à un orateur généreux et enthousiaste. Puissent les élèves trouver un bel élan à travers ce témoignage encourageant, ainsi que tous ceux qui suivront lors des prochaines Conf’s de la réussite.
L’université a fait pour la première fois le choix d’internaliser la production des cartes Mon pass campus pour les étudiants comme pour les personnels à la rentrée 2013-2014 afin de contrôler l’ensemble du processus de production et d’augmenter la qualité du service rendu aux usagers. Cette nouvelle organisation est un succès.
La naissance de ce pôle de production est le fruit de la réflexion et de la mobilisation de plusieurs services : la Direction des études et de la scolarité (DES), le Service de la vie universitaire (SVU), la Direction des usages du numérique (Dun) et la Direction informatique (DI). Tout au long de la rentrée, la synergie des services a permis de pouvoir transmettre dans des délais raisonnables les cartes et/ou les stickers à tous les étudiants et les personnels.
Le pôle de production, installé dans les locaux du SVU au Patio, a montré son efficacité tout au long de la période de rentrée, même pendant les périodes de pointe. La communication entre les différents services a permis de maintenir une bonne réactivité notamment face aux cas spécifiques. Une application de suivi de la production développée pour les scolarités, a permis de connaître, en quasi temps réel, le statut de la production des cartes des étudiants. Cet outil a facilité la transmission des informations auprès de ces derniers.
La réussite de cette rentrée universitaire n’aurait jamais été possible sans la collaboration active des équipes inter-services et le professionnalisme des étudiants recrutés pour participer à cette aventure.
À partir de décembre, rendez-vous à la mission Accueil du SVU
Comme l’an passé, environ 5 000 cartes ont été renouvelées. Le processus de renouvellement a pu être automatisé dès la réinscription des étudiants présents à l’université durant trois années consécutives.
Le bureau de distribution du Patio a permis de pouvoir distribuer les cartes et/ou les stickers des étudiants des composantes ALL/SHS. La mission Accueil du SVU au Platane a assuré la fabrication des cartes pour les étudiants Erasmus, des cartes perdues/volées, des cartes des personnels, des cartes pour les étudiants de l’Insa et de l’Engees. Pour les étudiants qui avaient un besoin urgent de leur carte, les photos ont été prises et les cartes éditées sur place.
À partir de décembre et jusqu’aux prochaines vacances estivales, la mission Accueil du SVU (au Platane) prend le relais de la production des cartes pour toutes les composantes et la distribution des cartes/stickers des composantes ALL/SHS.
Cette démarche, qui a permis de constater que l'université était en mesure de pouvoir assurer ce service en interne, sera probablement renouvelée à la rentrée prochaine.
Vous avez du temps libre ? Vous voulez rencontrer de nouvelles personnes ou décompresser après une journée difficile en faisant une partie de badminton, de tennis et/ou de tennis de table ? C'est dorénavant possible grâce au nouvel outil résa-suaps qui permet de réserver un terrain ou une table de tennis de table en ligne.
La réservation en ligne vous permettra de trouver un partenaire, d’échanger avec lui par courriel, de défier une personne du même niveau que vous ou tout simplement de jouer entre amis. La procédure est simple : il faut d'abord régler son droit sport pour l’année universitaire en cours, il faut ensuite se rendre dans l’un des cours de badminton, tennis et/ ou tennis de table afin d’obtenir l’autorisation d’inscription en pratique libre, aller à l’accueil du centre sportif universitaire muni de la fiche d’autorisation, de 17 euros et d’une photo afin d’obtenir la carte de pratique libre pour pouvoir enfin réserver en ligne au créneau souhaité.
Et si vous souhaitez faire découvrir ce nouveau fonctionnement à un ami, collègue, vous pouvez l’inviter à jouer avec vous une fois dans l’année, à condition que cette personne ait payé son droit sport. Cela lui permettra de tester cette nouvelle offre avant de s’engager.
Jusqu’au 15 décembre 2013, le Service commun de la documentation et le réseau EOD vous proposent d’acquérir en ligne un livre ancien numérisé pour la somme modique de 10 euros.
Profitez de cette offre en toute simplicité, quelques clics suffisent :
1. Choisissez dans cette liste un ouvrage ancien en science et technique antérieur à 1901
2. Cliquez sur la notice puis sur l’icône « EOD l digital on request » pour commander
3. Procédez au paiement sécurisé. Le montant de la numérisation sera invariablement de 10 euros tout compris jusqu’au 15 décembre. Le prix ordinairement appliqué s’élève à 10 euros de prise en charge auxquels s’ajoutent 0,15 euro par page numérisée. À titre d’information, la numérisation d’un ouvrage de 200 pages revient donc en temps normal à 40 euros.
4. Téléchargez, sous 10 jours ouvrables, votre livre numérisé au format pdf océrisé, vous permettant de faire de la recherche plein texte dans le document.
Laissez-vous tenter pour découvrir à moindre coût cette offre de service proposée depuis septembre 2012 par le Service commun de la documentation. Le SCD se réserve le droit de faire des exceptions à cette offre promotionnelle dans certains cas spécifiques de numérisation.
22, 23, 24 novembre 2013 : trois journées que l'Université de Strasbourg a consacré à ses alumni, diplômés ou personnels. Au programme, des expositions, des visites culturelles ou d'entreprises, des conférences, des temps conviviaux et de nombreuses tables-rondes, à l'image de celle-ci (photo) consacrée à la définition du rôle que peut jouer le réseau des alumni dans l’emploi des jeunes diplômés.
Plusieurs alumni y témoignent de leur expérience : tous ont fait une belle carrière dans l’université, la recherche, en entreprise ou en politique (Catherine Trautmann, Jean-Louis Mandel, Christian Mestre, Dominique Jung, Albert Hamm, Alain Beretz, Jean Weber). Alain Beretz en profite pour lancer l’opération de parrainage, qui vise à mettre en lien un étudiant et un alumni sur une période de 4 à 6 mois.
Étudiants, enseignants, chercheurs, découvrez les ressources en ligne actuellement en test !
Le Service commun de la documentation (SCD) propose en ce moment de tester plusieurs ressources électroniques depuis son portail documentaire :
Ces tests participent à l’orientation de la politique d’acquisitions du SCD, et permettent dans tous les cas d'offrir à tous l’accès à des contenus documentaires supplémentaires durant quelques semaines !
12/2013 | 01/2014 | 02/2014 | 03/2014 | |
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<strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | 17 | 28 | / | 25 |
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong> 14 h - Mardi | / | 14 | 11 | 11 |
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong> 14 h 30 - Mercredi | / | / | 5 | 26 |
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | / | 21 | / | 18 |
Médailles remportées par les étudiants lors de l'année 2012-2013
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 8 janvier midi pour une parution le vendredi 10 janvier 2014. Consultez les dates des prochains numéros.